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Les «Nous y voilà» que je glane au fil de mes lectures de bande-dessinée sont devenus des rendez-vous programmés à mon insu, une cartographie secrète qui dévoile au fur et à mesure un dessin qui l'excède. Tous ces personnages issus de récits et d'univers graphiques autonomes coïncident en ce point magique où l'on se murmure à soi même, en détachant nettement les mots : «Nous y voilà».
Celui-ci est tiré de l'extraordinaire Séquelles de Hugues Micol, publié chez Cornelius.